Selon un communiqué de Santé Publique France du mois de juin 2020, les Français.e.s sont en effet resté.e.s assis.e près de 6h30 par jour en moyenne pendant le premier confinement. Avec pour résultat une forme d’anesthésie de nos séants en forme de poire, pêche ou pastèque (#AllButsAreBeautiful), et des symptômes allant des fourmillements à la perte plus ou moins durable de sensations.
Le syndrome du cul mort peut être identifié avec la sensation d’engourdissement des fessiers, ou encore des crampes ou une douleur sourde. Ce syndrome peut aussi entraîner d’autres complications : en cas d’affaiblissement musculaire du fessier, d’autres muscles prennent le relais et entraînent un phénomène de surcompensation.
Cela peut déséquilibrer l’ensemble de votre masse musculaire et faire effet domino avec des douleurs aux jambes, aux genoux… jusqu’aux cervicales.
Comment éviter le « syndrome du cul mort » ?
Vous effectuez un travail sédentaire et pensez être atteinte d’une amnésie de la fesse ? Si vous sentez un engourdissement, une raideur ou des crampes au niveau de vos fessiers lorsque vous vous déplacez, alors il se peut en effet que vous souffriez du « syndrome du cul mort ».
- Pour réveiller les parties inférieures du corps, étirez les hanches, les jambes, les fessiers. Contractez chacune de ces zones, par exemple.
- Enfin, bougez rapidement dès que vous ressentez un membre ankylosé ou une crampe. Cela réactivera la circulation du sang et délassera les muscles
- monter et descendre les escaliers vous menant à votre bureau plutôt que d’opter pour l’ascenseur et aller vous promener durant votre pause déjeuner vous aideront aussi à remuscler et revitaliser votre joli derrière.
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