Nous sommes le reflet de ce que nous mangeons.  Les aliments participent à :

• La croissance et l’entretien de notre architecture corporelle.
• Nos états métaboliques, les pH de notre organisme.
• Nos états intérieurs, intellectuels, psychologiques, psychiques. On chercher à les satisfaire par le besoin de choisir spécifiquement certains aliments.

Chaque métabolisme à ses caractéristiques génétiques, pH, et par conséquence ses exigences propres sur le plan alimentaire. La vie à contre-courant de nos besoins se sanctionne par les maladies dites de civilisation, sinusite, allergies, eczéma, hypogémies, état de spasmophilie, rhumatismes… Ces désadaptations résultent toujours de mauvaises habitudes alimentaires.

Elles sont souvent difficiles à faire admettre par la personne concernée. Le gout a été trompé à une période de sa vie ou mal éduqué dans la petite enfance, par : Trop de sucres, trop de farineux, trop de fruits, trop de produits laitiers.

Chaque famille a ses habitudes alimentaires :

• Le sinusites a un penchant effréné pour les produits laitiers
• L’allergie pour le sucré, et en second plan pour les produits laitiers,
• Le rhumatisant, le déminéralisé, le frileux sont attirés par les acides (fruits et légumes acides, les ingrédients acides, vinaigre, moutarde…)

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