Un cambrioleur identifié grâce à son ADN laissé sur un pot de yaourt : Il a eu la langue trop longue

Sa gourmandise et son négligence à éliminer ses déchets l’ont trahi… Il y a quelques jours, un individu a été appréhendé et mis en garde à vue à Argenteuil (Val-d’Oise), suite à la collecte par la police de preuves irréfutables de sa présence sur les lieux d’un cambriolage perpétré la semaine précédente dans une maison du centre-ville.

Selon La Gazette du Val d’Oise, les propriétaires de la résidence concernée ont découvert, à leur retour, que la porte avait été forcée et que plusieurs biens précieux avaient disparu. D’après le média local, plusieurs “agents de la police scientifique et technique” ont été dépêchés sur les lieux pour tenter de recueillir des preuves.

Les faits

Un pot de yaourt vide, négligemment laissé sur le sol, a attiré l’attention des enquêteurs. Ce qui semblait être un objet banal s’est avéré être une pièce maîtresse dans l’identification d’un suspect. En examinant ce récipient en plastique, des traces d’ADN ont été découvertes par les experts. Ces dernières ont été confrontées aux données du Fichier national des empreintes génétiques (Fnaeg).

L’ADN récupéré sur le pot de yaourt correspondait à celui d’une personne déjà enregistrée dans le Fnaeg suite à une condamnation antérieure. Le suspect a été immédiatement arrêté et placé en garde à vue. Selon la théorie des forces de l’ordre, le présumé cambrioleur aurait ressenti une petite faim après son acte délictueux. Il aurait alors fouillé le réfrigérateur de ses victimes, savouré un yaourt, mais a commis une erreur cruciale en laissant le pot vide sur le sol.

L’arrestation

L’homme a consommé un yaourt sur les lieux du cambriolage. Grâce aux tests ADN, il a été identifié et interpellé. Cette affaire est un exemple frappant de la manière dont la technologie moderne peut aider à résoudre des crimes.