Les musulmans ne célèbrent généralement pas le Nouvel An grégorien le 31 décembre, car cette fête n’a pas de fondement dans la tradition islamique. L’islam suit le calendrier lunaire, et le Nouvel An musulman, appelé « Hijri », est célébré le premier jour du mois de Muharram.
Participer aux festivités du 31 décembre peut être perçu comme une imitation de pratiques non islamiques, ce qui est déconseillé dans l’islam. Un hadith du Prophète Muhammad (paix et bénédictions sur lui) stipule : « Celui qui cherche à ressembler à un peuple fait partie de lui. » Bien que l’authenticité de ce hadith soit discutée, il est souvent interprété comme une mise en garde contre l’adoption de coutumes étrangères à l’islam.
De plus, les célébrations du Nouvel An sont souvent associées à des pratiques contraires aux principes islamiques, telles que la consommation d’alcool et des comportements festifs excessifs. Les musulmans sont encouragés à éviter ces environnements pour préserver leur foi et leurs valeurs.
Cependant, il est important de noter que les pratiques et opinions peuvent varier parmi les musulmans. Certains choisissent de participer aux célébrations du Nouvel An pour des raisons culturelles ou familiales, tandis que d’autres préfèrent s’abstenir pour des motifs religieux. Cette diversité reflète la pluralité des interprétations et des pratiques au sein de la communauté musulmane.
Est-il permis de souhaiter bonne année en Islam ?
Selon la majorité des savans , il est conseiller éviter cette pratique car elle n’est pas mentionnée dans les textes sacrés, et ils craignent qu’elle puisse impliquer l’adoption de coutumes non islamiques.
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