Beaux temps rythme avec allergie. Le nez qui gratte et des yeux rouges font partie des lots des désagréments en cette période d’allergie aux pollens.
le rhume des foins ou rhinite allergique. le pollen de certaines plantes, herbes sauvages m, est présent en très grandes quantités dans l’air. Ce pollen irrite les voies respiratoires et provoque une réaction de défense de l’organisme déclenchant le mécanisme de l’allergie.
Le début de l’année 2023 a été très doux, ce qui a favorisé la floraison des arbres. Les premiers pollens de noisetier (faisant partie de la famille des bétulacées) étaient déjà présents. Cependant, la situation se détériore rapidement. Dans son dernier bulletin mis à jour, le Réseau National de Surveillance Aérobiologique (RNSA) a classé le Var en rouge, tout comme les autres départements du pourtour méditerranéen. Dans ce département, le risque d’allergie est élevé pour les pollens de cupressacées-taxacées, tandis que ceux d’aulne et de frêne sont en augmentation (avec un risque moyen). Les pollens de noisetiers et d’urticacées sont également présents, mais dans une moindre mesure.
Des plantes à éviter en cas d’allergies respiratoires
Les plantes pollinisant par anémogamie sont nombreuses et bien connues pour provoquer des allergies. Les grandes quantités de pollen disséminées par le vent s’infiltrent dans les voies respiratoires. Parmi ces plantes, de nombreux arbres dont le cyprès, le platane, le noisetier, le saule (saule pleureur et tous les autres saules), le bouleau, le mimosa, le frêne, le charme, le chêne, l’olivier ou encore l’aulne, ont un potentiel allergisant moyen à élevé. Pour en savoir plus : Cliquez ici
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